Avec “Mon père n’est pas mort”, Adil El Fadili signe un premier long-métrage saisissant, déjà récompensé par six prix lors du festival national du film de Tanger. Relatant l’histoire d’un enfant en quête de son père, le film nous plonge dans un univers riche en émotions et en couleurs. Interview.
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Les femmes qui donnent naissance à des enfants hors mariage sont confrontées à l'ostracisme social. Rejetées et marginalisées, elles voient souvent leur vie suspendue dans un monde d'incompréhension et de jugement. À Casablanca, l'Association de solidarité féminine (ASF) leur tend la main depuis 39 ans, leur offrant un refuge, des soins et une formation professionnelle. Reportage.
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Aspects traditionnels et pratiques modernes cohabitent harmonieusement pendant Ramadan. Dr Nadia Lamoudy, professeure de sociologie et psychologie sociale à l’université Hassan II à Casablanca trace pour nous dans cet entretien les évolutions et les mutations de la société marocaine au cours de cette période particulière de l’année.
ADN
Bien que l'ADN soit désormais utilisé pour prouver des infractions telles que les rapports extraconjugaux, son utilisation pour établir la filiation paternelle reste impossible. Le débat sur l'implication de la science dans la reconnaissance de la paternité persiste, alors que les Marocaines attendent avec impatience la réforme de la Moudawana.
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Fatima Zahra Qanboua représente la nouvelle génération d'artistes ayant opté pour le monde du spectacle après des études académiques. Au cœur de son parcours se trouve la “passion”, incarnée à travers son rôle de “Nadia” dans la série “Dar Nsa”.
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Actrice polyvalente, magistrale dans ses transformations, Meryem Zaïmi excelle à manier les dialectes et le chant avec une grande aisance. Elle partage avec nous dans cette interview son expérience dans la série "Dar Nsa".
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Dans les méandres de la vie conjugale au Maroc, le consentement sexuel entre époux reste un sujet brûlant et souvent minimisé. Malgré les efforts des militants des droits des femmes, le viol conjugal demeure une réalité peu reconnue, soulevant des questions juridiques complexes et des défis culturels profonds.
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Alors qu’aux États-Unis et en Europe, le féminisme 4.0, également connu sous le nom de cyberféminisme ou féminisme du hashtag, est à son essor, il n’est qu’à ses prémisses au Maroc. Consciente du pouvoir des réseaux sociaux, une nouvelle génération d’activistes tente par tous les moyens de faire trembler la toile.
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Soumaya Mounsif Hajji est traductrice assermentée. À la veille de la réforme de la Moudawana, cette virulente militante dresse un état des lieux de la situation de la femme.
8-mars
L’état des lieux des droits des femmes au Maroc révèle toujours des écarts flagrants entre les décisions politiques de la plus haute instance de l’État et la réalité. Les résistances et la culture patriarcale dominante se dressent toujours devant la mise en œuvre d’une citoyenneté pleine et entière des femmes. La nouvelle mouture du Code de la Famille qui devrait voir le jour très bientôt arrivera-t-elle à remédier aux défaillances et contradictions de la Moudawana de 2004 ? Tous les signaux sont au vert.
Repenser-la-sante-mentale
La perspective sur la santé mentale a considérablement évolué, reflétant un changement majeur dans les approches de traitement. Le Centre médico-psycho-social (CMPS) de Tit Mellil incarne ce progrès notable. Dans cette interview, Fouad Mekouar, président de l’Association marocaine d’appui de lien et d’initiation des familles de personnes en souffrance psychique (AMALI), nous éclaire davantage sur cette avancée.
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Compositrice, interprète et réalisatrice, Nora Skalli est une artiste polyvalente qui bouscule les clichés. Dans cette interview, elle nous parle de son rôle dans “Dar Nsa” (Maison des femmes), une série diffusée par la chaîne Al Aoula pendant Ramadan.
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Mois de piété et de dévotion, Ramadan se distingue par des manifestations sociétales. Solidarité, surconsommation, quête spirituelle et rituels sont les traits saillants de cette période de l’année où le cultuel et le culturel se croisent. Éclairage.
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En cette année 2024, le Maroc s’apprête à vivre un moment historique. La promulgation d’un nouveau Code de la famille, expurgé de certaines de ses contradictions. Houda Zekri, consultante en coopération internationale et spécialiste des droits des femmes, partage avec nous son point de vue sur tous les changements qui devraient être introduits dans la nouvelle mouture de la Moudawana.
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Un accord de partenariat a été conclu entre le Groupe AMH et le Ministère des Affaires Étrangères de la République de Bulgarie pour le projet "L'École à l'Hôpital". Cet accord vise à soutenir l'accès à l'éducation pour les enfants en situation de handicap au Maroc.
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Le 3e Congrès de la femme RNIiste s'est déroulé ce samedi 2 mars à Marrakech, sous le thème « La famille et les fondements de l'État social ». Organisé par la Fédération nationale des femmes du RNI, congrès a été marqué par la présence distinguée du président du RNI Aziz Akhannouch, ainsi que de nombreux membres du parti.
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Au cours du mois de mars, la réforme du Code de la famille devra être présentée au Roi Mohammed VI. Parmi les changements tant attendus, l’interdiction, sans dérogations, du mariage des mineur.e.s. Une revendication portée par de plus en plus de jeunes qui se démènent pour faire bouger les lignes, que ce soit sur le terrain ou sur la toile.
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Plongée dans l'univers amoureux d’une génération qui tranche avec les précédentes, capable de s’affranchir des diktats sociétaux hérités et d’inventer ses propres codes.
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Entre des traditions bien établies et des aspirations contemporaines, l'amour au Maroc s'entrelace au sein de valeurs culturelles profondes et des dynamiques changeantes des nouvelles générations. Mostafa Aboumalek, sociologue et professeur-chercheur, décrypte les tabous, les impacts médiatiques et les défis qui jalonnent la redéfinition de l'amour au sein du Royaume.
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Au Maroc, l’amour est pudique. Il ne se crie pas sur les toits, il ne se vit pas au su et à la vue de tous. Entre modernité et tradition, entre exaltation des sentiments et pudeur, exprimer ses sentiments reste encore tabou dans notre société. Éclairage avec Hassan Rachik sociologue et anthropologue.
amour
L’amour est un sentiment universellement accepté, qui a suscité, à travers les temps et les civilisations, passions, guerres, alliances, unions… À l’ère des nouvelles technologies, ce sentiment subit les contrecoups des mutations sociétales et culturelles. Décryptage.
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