L’été et son lot de chaleur, d’humidité, de transpiration, favorise à la fois les infec- tions urinaires et celles dues aux cham- pignons. Le port d’un maillot humide, les sous-vêtements synthétiques, le sable qui s’incruste, les toilettes vaginales trop inva- sives et fréquentes sont du pain béni pour des germes microscopiques mais aux désa- gréments multiples. Résultat des courses : au niveau des zones intimes, çà gratouille, picote, brûle à la pause pipi... Dans un but préventif, on adopte alors les bons réflexes.