Rachida Saidi, Selma Bargach et Aïcha Amor au Festival international du film transsaharien à Zagora

La directrice de production marocaine Rachida Saidi, la jeune réalisatrice marocaine Selma Bargach ainsi que la poétesse et galeriste Aïcha Amor font partie du jury du Festival international du film transsaharien (FIFT) organisé du 30 novembre au 4 décembre à Zagora.

La problématique de l’eau est au cœur de la 14ème édition du Festival international du film transsaharien (FIFT) tenue à Zagora du 30 novembre au 4 décembre qui verra notamment la participation d’une vingtaine de personnalités du monde du cinéma, du théâtre et de la littérature. Parmi le jury chargé de départager les longs-métrages et présidé par le réalisateur hollandais Koert Davidse, on retrouve la directrice de production marocaine Rachida Saidi et la poétesse et galeriste Aïcha Amor, ainsi que l’acteur et réalisateur marocain Driss Rokh, et l’acteur marocain Yassine Ahjam, ou encore le président du Festival international du film de Mascate (capitale du sultanat d’Oman) (MIFFl) Mohamed Al Kindi, le directeur artistique du festival de Zanzibar (ZIFF), l’Italien Fabrizio Colombo.
Quant aux films en lice, ils représentent le Sénégal, les Emirats arabes unis, l’Inde, le Kazakhstan, la Hongrie, l’Irak, le Liban, l’Egypte, le Burkina Faso, le Mali, la Tunisie et l’Iran. Cette année, une nouveauté a fait son apparition : la compétition des courts métrages a été créée afin d’encourager et de booster la carrière des jeunes réalisateurs talentueux de la région Drâa-Tafilalet. Le jury de cette compétition sera composé de la jeune réalisatrice marocaine Selma Bargach, du réalisateur marocain Abdesslam Laglaai, du président de la Fédération tunisienne des cinéastes amateurs et directeur du Festival international du Film amateur de Kélibia en Tunisie Aymen Jlili, du dramaturge Said Bachna, du directeur général du centre national de la cinématographie du Mali Moussa Diabaté.

Peu de scandales éclatent et pourtant… Le harcèlement dans le sport existe bel et bien : intimidations, pression morale, comportements
Abus sexuels, violences physiques, psychologiques et économiques, …Les femmes en situation de handicap ne sont pas épargnées. Au contraire. Elles
La loi n° 103-13, entrée en vigueur en 2018, marque une avancée majeure dans la protection des femmes contre la
Les violences faites aux femmes sont une réalité inquiétante touchant des milliers de femmes chaque année, malgré les efforts législatifs.
31AA4644-E4CE-417B-B52E-B3424D3D8DF4