Le 28 mai, c’est le coup de sifflet final de la quatrième édition du prix « Tamayuz de la femme Marocaine » qui porte, cette année, les projets en faveur de la femme rurale. Seront distingués des personnes (femmes ou hommes), des organisations, ou des institutions ayant eu l’excellence de création ou de soutien de projets exemplaires à impacts palpables sur le vécu de la femme marocaine rurale, comme le développe le ministre de la Famille, de la Solidarité, de l’Égalité et du Développement social, initiateur de ce prix. Pour départager les candidats, un jury composé de personnalités nationales de renom, indique-t-on sans plus de détails. A la clef ? 130 000 dhs pour le grand gagnant, 100 000 dhs pour le projet arrivé en deuxième position, et 70 000 dhs pour le troisième. Plus qu’un prix, « Tamayuz de la femme Marocaine » est une distinction qui a eu un impact important dans la carrière des femmes distinguées, comme l’assurent les organisateurs, prenant l’exemple de Naoual Belamfadel qui a décroché le 3ème trophée lors de la 2ème édition du prix Tamayuz pour son projet de « culture d’orge ». Une initiative qui a ensuite obtenu de nombreux récompenses comme le titre de la « meilleure famille productrice » lors d’un concours organisé par le Royaume du Bahreïn, le prix « Maroclear » de la femme entrepreneure dans le domaine du développement durable en 2016, ainsi que le prix de la CGEM, en plus de sa participation en tant qu’exposante à « Food Expo ».
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