Les propos de l’actrice suite à son agression n’ont pas plu à la direction générale de la sûreté nationale qui a fini par porter plainte. L’étau se resserre…
Fausses affirmations. Voilà en gros ce que la DGSN reproche à Loubna Abidar qui fait à présent l’objet de poursuites judiciaires. Selon le site d’information Telquel.ma l’avocat attitré de la Direction s’est basé sur la fameuse vidéo dans laquelle l’actrice donnait quelques détails de son agression en insistant sur le fait qu’aucune autorité et aucun médecin ne lui avait prêté assistance. Un scénario nié en bloc par la préfecture de police de Casablanca, qui a tenu à préciser que ses agents avaient fait leur travail mais que jeune femme avait en revanche refusé de donner les informations clés relatives à son agression et de signer le PV. Jugeant cette vidéo diffamatoire, la DGSN a entamé une procédure judiciaire au nom de ses fonctionnaires.