La série de la photographe décédée lors d’une attaque terroriste à Ouagadougou en janvier 2016, “se fait aussi l’écho de la pluralité culturelle du Maroc mise à l’honneur au cœur du musée berbère du Jardin Majorelle”, comme le souligne le musée dans un communiqué. Ainsi, une trentaine de portraits de Marocains, dont certains inédits, seront accrochés. Des portraits puissants que Leila Alaoui a immortalisé lors de ses séjours au sein de diverses communautés, mettant ainsi sous le feu des projecteurs “la subjectivité” de ces personnes, comme elle aimait le souligner.
Exposition temporaire, entrée gratuite.