Par ailleurs, l’ONG révèle aussi que les femmes qui ne peuvent payer ces frais seraient retenues à l’hôpital jusqu’à ce que leur famille s’acquitte de leur dette. Et l’hôpital ne s’arrête pas là : des frais de séjour supplémentaires viennent grossir l’addition de la mère qui gémit trop ! Pour se justifier, l’établissement a indiqué que cette “taxe sur les cris” ne visait qu’à indemniser les frais entraînés par les fausses alertes… Résultat : cette pratique ne ferait qu’encourager les femmes à accoucher chez elles, multipliant ainsi les risques sanitaires…