Qui est donc Melania Trump ?

Melania Knauss-Trump, épouse du candidat républicain à la Primaire américaine, fait peu parler d’elle. Cet ex-mannequin discret est pourtant amenée à jouer un rôle de premier plan si Donald remporte le scrutin.

Après Michelle, Melania ? La presse américaine s’intéresse de plus en plus au parcours de Melania Kauss, l’épouse de Donald Trump, de 26 ans son aîné. Très discrète depuis l’entrée en campagne de son candidat de mari (qui, lui, sait parfaitement se faire remarquer), l’atout glamour du candidat intrigue. Née en 1970 dans un petit village de Slovénie d’un père membre du parti communiste, elle incarne aux yeux de l’Amérique cet American dream tant chéri. Après des études d’architecture, elle s’envole pour les États-Unis à 17 ans pour débuter une carrière de mannequin. En 1998, lors d’une soirée, elle rencontre le milliardaire. « Je ne pouvais pas échapper à son charme. Il y avait des étincelles », a-t-elle confié. Ils se marient en 2005 et ont un fils, Barron, en 2009. Entre temps, elle poursuit sa carrière de mannequin, fréquente la jet-set new-yorkaise mais est aussi ambassadrice de la Croix-Rouge et créatrice d’une marque de bijoux et de cosmétique, Melania™ Caviar Complexe C6. Récemment, elle a décidé de sortir du silence en accordant une interview à ABC, filmée dans un des salons « inspiré de Versailles » de son penthouse triplex à Manhattan et où elle est apparue en robe rose aux côtés de son mari. Le monde est en effet curieux de savoir si, en tant que naturalisée américaine, elle partage les positions du candidat qui souhaite déporter les immigrants illégaux et construire un mur entre le Mexique et les États-Unis… En indéfectible soutien, Melania répond avoir « traversé un long processus pour devenir citoyenne américaine » et que  « les gens doivent respecter la loi ». En gros, elle l’a mérité. Concernant les femmes, cibles régulières des attaques misogynes de son époux, le mannequin le défend : « Il traite tout le monde de la même manière. » Pas de déclaration tonitruante à la Trierweiler donc. En 1999 déjà, interrogée par le New York Times sur le type de Première dame qu’elle serait si Donald Trump devenait un jour président, elle répondait qu’elle serait « très traditionnelle. Comme Jackie Kennedy. Je lui apporterais mon soutien ». A l’issue de cet entretien, l’épouse modèle a-t-elle réussi à conquérir le cœur des Américains ? Sans doute, même si le personnage a aussi connu un passé plus sulfureux, qu’elle assume d’ailleurs. Des couvertures nue pour GQ ou des photos en maillot de bain pour Sports Illustrated pourraient la discréditer auprès des Américains : « Rien de spécial. Ça fait partie du travail », justifie-t-elle.

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