Ce qui l’est, par contre, c’est l’organisation des joueurs derrière un mouvement étiqueté “Gamergate”, censé lutter contre la corruption de la presse spécialisée, mais qui n’hésite pas à taper sur certaines développeuses ou les militantes qui osent attaquer le contenu anti-femmes de ces jeux.
Anita Sarkeesian, vidéo-blogueuse féministe, a dû annuler sa conférence sur la question en novembre dernier, après des menaces anonymes de “véritable tuerie!”… On parle bien de console, là ?