Selon HRW, “l’emprisonnement de Rachid Niny contredit l’engagement des autorités marocaines à respecter la liberté d’expression, telle que proclamée dans la nouvelle constitution du pays”. Elle somme donc Rabat de “mettre à niveau ses lois avec la nouvelle constitution, (…) et d’abolir celles qui criminalisent l’“outrage” à l’encontre de fonctionnaires ainsi que celles qui criminalisent la diffamation, notamment d’agents de l’Etat”. Z.I.L.