Suite à une septicémie contractée après une interruption volontaire de grossesse.
Les faits remontent à 2011, mais la victime sort de son mutisme aujourd’hui pour porter plainte contre la maternité. En effet, selon le couple lésé, il s’agirait d’une négligence médicale.
Un antécédent rare qui donne pourtant des sueurs froides quant aux pratiques illégales d’I.V.G. au Maroc.