Le film d’ouverture « Le miracle du Petit Prince » de Marjoleine Boonstra donnera le ton de la 11ème édition du Festival International de film Documentaires d’Agadir (FIDADOC), comme l’annonce l’Association de Culture et d’Education par l’Audiovisuel (ACEA) qui a concocté cet événement du 18 au 22 juin. Ainsi, pendant 5 jours, les spectateurs découvriront sur l’écran des femmes et des hommes engagés qui, comme le personnage imaginé par Antoine de Saint-Exupéry, dénoncent les injustices de nos sociétés et à travers leurs mots et leurs actes, poursuit-elle dans un communiqué.
Dans cette 11ème édition, la langue amazighe sera mise à l’honneur dans trois films de la sélection officielle, et un nouveau programme sera créé. Son nom ? SENTOO. Il vise à soutenir au développement de films dont la première édition concerne 6 pays africains : Maroc, Tunisie, Sénégal, Niger, Burkina-Faso et Mali. Une nouveauté importante, d’autant que le FIDADOC a un impact. Car comme le met en avant l’ACEA, la Compétition internationale comptera, pour la première fois, trois premiers longs-métrages qui ont bénéficié du programme d’accompagnement artistique du FIDADOC, l’occasion pour leurs auteurs, algérien, marocain et nigérien, de revenir à Agadir pour partager leur expérience avec les participants de la 8ème édition de la Ruche documentaire.