Je me fais du bien

Je mange sain et équilibré

Frites, kebab, pizza et cheeseburger du midi, le tout copieusement arrosé de ketchup ou de fromage fondu… Stop, on oublie ! Reprendre le boulot et renouer avec la vie active n’implique pas de  succomber aux tentations de la malbouffe. A croire qu’on prend plaisir à manger n’importe quoi pour se réconforter et oublier son stress. Pourquoi ne se ferait-on pas à l’idée que manger sain peut aussi être source de plaisir ? Certes, une salade verte ça n’a rien de sexy, ça ne donne franchement pas envie, mais après tout, ce n’est qu’une question d’habitude. Pensons plutôt au superbe corps de déesse que nous serons si fières d’exhiber sans scrupule dans quelques mois et prenons notre mal en patience. On se dira merci plus tard…

Je gère mon stress et je me relaxe

Quand on y réfléchit bien, on passe sa journée à s’énerver pour des petits riens qui, en s’accumulant, finissent par donner l’impression en fin de journée de rentrer du front après avoir livré bataille contre l’ennemi. Ça commence avec notre gamin qui se réveille à 6 heures du mat’ pour regarder Spider-man, la voiture qui ne démarre pas car notre tête en l’air de mari a oublié d’éteindre les phares la veille au soir, les embouteillages et les insultes qui fusent à chaque coup de klaxon, le magasin de déco qui ne nous a toujours pas livré notre mobilier au bout d’un mois et qui ne sait toujours pas quand ce sera possible, etc. Prenons du recul, essayons de nous détacher de ce monde de brutes et relaxonsnous. Yoga, massage, sport… Trouvons une activité apaisante qui nous  ermette d’évacuer notre stress et de nous calmer par la même occasion.

Je prends du temps juste pour moi

Non, il n’y a pas que nos enfants et notre mari dans notre vie et non, nous ne sommes pas à leur  entière disposition. Il faut savoir aussi penser à soi et s’accorder des moments privilégiés en tête-à-tête avec soi-même ou avec des personnes de son choix, et de préférence, autres que les membres de sa famille.

“SELON LES RÈGLES DU FENG SHUI, SE SENTIR BIEN CHEZ SOI A DES IMPACTS SUR NOTRE MÉTABOLISME ET NOS HUMEURS.”

Je me fais plaisir

On passe l’année à courir et à se priver des plaisirs de la vie, faute de temps ou dans un souci d’économie, et on se résout généralement à attendre les vacances d’été pour se lâcher et prendre du bon temps. Mais après tout, la vie est courte et mérite d’être vécue avec passion. C’est décidé, on préfère se faire plaisir régulièrement et à petites doses plutôt que d’attendre les vacances pour jouir de la vie. Qu’on trouve son plaisir en dépensant de l’argent, en passant des moments privilégiés avec des proches ou en solo, peu importe, l’essentiel est de penser à toutes ces petites choses qui nous font du bien et de se faire un devoir de les mettre en pratique.

Je voyage

Le monde ne se limite pas au petit circuit dans lequel on évolue chaque jour avec pour seules escales notre appart, le supermarché du coin, l’école des gamins et le boulot. Rien de tel que de larguer les amarres et de partir à la découverte de nouveaux horizons quand le quotidien se fait trop pesant. On rompt avec les habitudes, on casse son petit rythme de vie pour s’éveiller au monde, perdre ses sacro-saints repères, redécouvrir le plaisir du farniente et de la nature. Voyager, c’est partir en laissant derrière soi sa vie quotidienne, et le fait de s’en éloigner ne serait-ce que de quelques kilomètres fait un bien fou. Alors on n’hésite pas à multiplier les week-ends improvisés tout au long de l’année pour garder le rythme et refaire régulièrement le plein d’énergie.

Je décore mon intérieur

Notre maison c’est un peu le reflet de ce que nous sommes, mais il arrive souvent que ce ne soit pas le cas. Faute de temps ou de moyens, on se contente alors de vivre dans un intérieur dans lequel on ne se sent pas franchement bien et dont on a même un peu honte. Résultat : on préfère être ailleurs plutôt que chez soi, on rechigne à inviter ses amis, on se réveille d’humeur maussade dans ce cadre qui nous déplaît et on lorgne avec frustration et envie sur les supers apparts de ses copines. Arrivée à ce stade, il est grand temps de se reprendre en main et de faire passer en priorité le réaménagement de notre intérieur car pour peu que l’on croit aux règles du Feng Shui, se sentir bien chez soi a des impacts sur notre  métabolisme et nos humeurs.

Je refais ma garde-robe

Chaque matin, c’est le même rituel : on passe une demi-heure en moyenne devant sa penderie à se demander ce qu’on va bien pouvoir enfiler aujourd’hui. Notre regard désabusé passe d’un top à un  autre sans s’attarder, notre main fait semblant de chercher dans la pile un improbable coup de coeur et on reste figée là, à se lamenter sur son sort en se disant que vraiment, on n’a plus rien à se mettre. Arrêtons de se mentir, on ne supporte plus ces fringues et il est grand temps de faire le nettoyage par le vide et de refaire peau neuve. On commence par le tri en tâchant d’être le plus honnête avec soi-même. Inutile donc de conserver ce tas de vêtements en taille 38 alors qu’on fait une taille 40 depuis deux ans. Normal qu’on soit déprimée quand on n’arrive même plus à rentrer dans la moitié de ses fringues. En attendant le jour où on retrouvera peut-être la taille de nos 18 ans, on pourrait  commencer par respecter son corps et s’accepter comme on est en s’achetant des vêtements à sa taille, dans lesquels on se sent vraiment bien.

Je zappe les persona non grata de mon répertoire

Se sentir bien dépend aussi grandement des personnes qui nous entourent. En passant en revue son répertoire téléphonique, on a tout d’abord un petit sursaut de fierté (si si, avouons-le !) en constatant que décidément on connaît un tas de gens. Mais combien d’entre eux sont vraiment nos amis ? Avec lesquels nous sentons- nous vraiment à l’aise ? Essayons d’être honnête avec nous-même… pas grand monde. On se décide donc à se délester de ce poids inutile et de ne s’entourer que de personnes bienveillantes, qui nous veulent du bien. Exit les ex, les copains de lycée qu’on n’a plus vus depuis dix ans et les faux amis qui se rappellent de nous quand ils ont besoin de quelque chose. On ne garde que le meilleur et on se sent bien plus légère ainsi. â–