Beyoncé exploite des ouvrières sri-lankaises pour faire fabriquer Ivy Park

Le journal britannique The Sun a enquêté sur les conditions de fabrication des vêtements de la marque de Beyoncé, Ivy Park. Et ce n'est guère reluisant...

Pas glop du tout. Derrière le discours féministe de Queen B se cache une réalité peu conforme aux belles paroles. Il y a quelques semaines, lors du lancement de sa marque de vêtements, Ivy Park, en collaboration avec Topshop, Beyoncé s’est longuement attardée sur la philosophie de cette marque de sportswear censée rendre « les femmes plus puissantes à travers le sport ». Le hic : les couturières qui fabriquent ces vêtements dans les usines de MAS Holdings au Sri Lanka sont des jeunes femmes issues des villages pauvres alentour. Elles gagnent seulement 4,30 livres par jour (environ 60 DH) et travaillent plus de 60 heures par semaine. Aucune d’entre elles n’ose se plaindre de peur de perdre son job. Le journal britannique The Sun a fait le calcul : il faudrait à ces femmes plus d’un mois de salaire pour s’offrir une paire de leggings de Beyoncé à 100 livres (environ 1400 DH). Beyoncé est une fausse féministe mais une vraie businesswoman.

 

Une alliance subtile entre esthétisme, chic et confort pour frimer sur les pistes.
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