Barbie non grata

Interdite depuis 1996 enIran, la jolie blonde, à qui toutes les petites filles rêvent de ressembler un jour, continuait pourtant d'êtrevendue sans crainte.

Mais la donne a changé, il y a quelques semaines, lorsque les autorités iraniennes ont décidé de faire véritablement appliquer le boycott des poupées Barbie. Les commerçants ont alors vu débarquer dans leurs échoppes la police des moeurs iranienne, les sommant de retirer de la vente toutes les poupées Barbieen stock dans le but de protéger la population de la culture occidentale, laquelle pervertit les valeurs islamiques. En lieu et place de Barbie et Ken, son chéri, les petites iraniennes devront se rabattre sur leurs équivalents iraniens, Sara et Dara, habillés dans le respect du code vestimentaire iranien selon lequel les femmes se doivent de dissimuler leurs cheveux et leurs formes. Z.I.L.

En confiant la présidence à Yasmina Baddou, l’Association AMANI amorce une nouvelle phase de son engagement en faveur des enfants
Lumineuses, sereines, abondantes, les œuvres de l’artiste-peintre Bouchra Samodi se prononcent comme un clin d’œil à sa propre expérience
La Maroc aspire à devenir un hub médical pour l’Afrique, mais aussi à renforcer sa position en tant que destination
L'Association Nationale des Créateurs de Mode Marocains (ANCMM) a organisé, hier au complexe culturel d'Anfa à Casablanca, une conférence dédiée
31AA4644-E4CE-417B-B52E-B3424D3D8DF4