Un muscle cardiaque sollicité de manière optimale
Quand Herbert Léonard fredonne : “Pour le plaisir !”, notre coeur bat, lui aussi, la mesure pour l’orgasme. En effet, ses pulsations s’accélèrent de la phase d’excitation-préliminaires, jusqu’à atteindre leur paroxysme, lors du feu d’artifice final. La gymnastique sous la couette, qui s’apparente à vingt minutes de course à pied, fait donc travailler en cadence l’organe noble et lui assure longévité et protection. Ainsi, à moins de présenter une contre-indication d’ordre cardio-vasculaire aux rapports sexuels, on considère que, même à un âge avancé, il n’y a aucun mal à se faire du bien ; bien au contraire !
Une protection précieuse contre certains types de cancers
Il est bien connu que l’ocytocine, la fameuse hormone sécrétée lors de l’allaitement, préserve du cancer du sein. Libérée également à l’occasion des contacts sexuels, caresses, attouchements et stimulations manuelles des tétons, cette hormone du plaisir semble remplir le même office lorsque la femme plonge dans l’extase. Côté masculin, ce sont les éjaculations à répétition qui auraient un effet protecteur vis-à-vis du cancer de la prostate.
Une action relaxante, antalgique
Du bien-être à foison et des endorphines plus apaisantes qu’un cachet contre la migraine, tel pourrait être le cadeau collatéral octroyé par les galipettes. Dès lors que l’orgasme du soir favorise l’endormissement et la qualité du sommeil réparateur, tordant ainsi le cou aux réveils brutaux où on compte les mouches au plafond, il s’agit d’en user sans modération. Sans compter que la journée du lendemain a toutes les chances de se dérouler sous de très bons auspices… En effet, on a constaté que les “bêtes au lit” disposaient d’une meilleure capacité à absorber le stress professionnel, en toute zénitude ; leur fonctionnement fréquent en mode lâcher-prise et détente permettant d’évacuer fatigue nerveuse et physique, préjudiciables à leurs autres activités.
Un cerveau réactif
Le plaisir améliorerait les facultés de mémorisation du cerveau, et ce, grâce à la célèbre mélatonine, hormone de la jeunesse.
Une peau nickel
Les oestrogènes qui battent le pavé en nombre, à l’heure du câlin, stimulent la production de collagène qui rend l’épiderme plus élastique, souple, et davantage résistant au vieillissement cutané.
Un poids stable et une musculature au poil
C’est un diététicien américain de renom qui le dit : en faisant l’amour trois fois par semaine, on peut perdre un à deux kilos sans régime. D’autre part, l’activité sexuelle permet de tonifier et d’étirer certains muscles, qui se développent également suite à l’augmentation de la testostérone dans le sang.
Des vertus anti-dépressives
Le rapprochement intime avec l’être aimé, la tendresse partagée ou encore la volée d’endorphines induisant un état d’euphorie post-coïtale concourent tous au même but : chasser les coups de blues, lutter contre la dépression saisonnière et s’injecter de la joie dans le quotidien !
Des méfaits de l’abstinence…
Insatisfaction et inhibition sexuelles sont associées à de nombreux troubles et auraient pour résultat d’aggraver mal de dos, constipation chronique, obésité, etc. Au final, la très sérieuse Organisation mondiale de la Santé a, elle aussi, recommandé l’acte sexuel comme garant de la bonne santé physique et mentale… Alors, qu’attendez-vous pour prendre de ce médicament gratuit et totalement dénué d’effets secondaires ou de surdosage ? â–