Son seul tort : avoir organisé des réunions hebdomadaires de parole afin d’inciter les Syriens à se libérer de leur anxiété… Lors de sa détention, son état de santé s’était subitement aggravé et des psychanalystes français se sont fortement mobilisés en lançant une pétition pour demander sa libération. Selon son entourage, elle serait “en bonne santé, sous l’euphorie de sa libération…”. Rafah Nached fait partie des 1.180 détenus “impliqués dans les événements de Syrie et qui n’ont pas de sang sur les mains”, dont le régime Syrien a ordonné la libération. F.H.