Testée positive au Meldonium, un remède servant à la prévention des infarctus mais pouvant également augmenter l’endurance, Maria Sharapova a évoqué une méconnaissance de la nouvelle réglementation sportive. La tennis woman a prétendu ne pas avoir eu vent du classement du meldonium comme substance dopante, ajoutant qu’elle en prenait depuis 2006 sur avis médical. Une explication que peu de gens jugent crédible, étant donné que le composant en question a été prohibé en janvier dernier et que l’AMA (agence mondiale antidopage) avait largement communiqué à ce propos. Autre faille dans l’argumentation de la joueuse, sa mise sous traitement pendant 10 ans alors que ledit médicament ne peut être utilisé au delà de six semaines. Maria Sharapova qui a vu ses plus gros sponsors la lâcher un à un depuis le scandale devra trouver autre chose pour « sauver sa peau ».