Institut français du Maroc : « Queen Blood », un spectacle où des danseuses jouent des codes masculins du hip hop

Le 7 juin à l’Institut français de Meknès, « Queen Blood », un groupe de danse exclusivement féminin monte sur scène, illustrant la pluralité de la danse hip hop d’aujourd’hui.

Queen Blood invite plusieurs danseuses du groupe Paradox-Sal à bousculer leurs acquis techniques, à questionner leur rapport au geste et à la performance afin de rendre palpable ce que revêt, pour elles, la notion de féminité. D’abord dans l’ombre, sept danseuses jouent des codes masculins du hip-hop, puis s’émancipent, apparaissent dans la lumière, libres et fières. Énergie de lionnes, elles rayonnent sur des morceaux de house music, interprètes virtuoses d’une danse née dans les clubs new-yorkais. Rythme africain et esprit clubbing, cette danse flirte avec la grâce aérienne d’une technicité d’exception et la liberté d’une street dance pulsionnelle.

Construit à partir des parcours et expériences personnelles de chacune d’elles, Queen Blood porté par le chorégraphe Ousmane Sy est un concentré intime et vibrant qui plonge ses racines dans le populaire et qui s’actualise au présent.  Cette œuvre a reçu le 3e prix et le prix de la technique du concours Danse élargie 2018, organisé par le Théâtre de la Ville – Paris et le musée de la Danse – Rennes, en partenariat avec la Fondation d’entreprise Hermès.

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