Être un homme c’est vendeur

Quand une écrivaine se fait passer pour un homme, les éditeurs s’intéressent beaucoup plus à son manuscrit. Face au peu de réactions que suscitait son nouveau manuscrit, Catherine Nichols, une auteure américaine, a décidé de prendre un nom d’emprunt masculin. Et comme par magie, les réponses se sont bousculées.

Lorsque Catherine Nichols a envoyé son nouveau manuscrit à des agents, peu d’entre eux ont eu la politesse de répondre. Après avoir lu des études sur l’inégalité de traitement entre hommes et femmes dans certains secteurs, elle décide de prendre un pseudonyme masculin, George, et renvoie le texte à six agents. En 24 heures, George récolte cinq réponses dont deux refus chaleureux et encourageants, raconte-t-elle sur le site Jezebel.

Encouragée par les réponses, elle envoie le manuscrit à 50 agents cette fois et reçoit 17 demandes de manuscrit. Une preuve s’il en fallait que le sexisme est toujours bien présent dans le monde de l'édition, et malheureusement pas uniquement dans ce domaine, alors que 2/3 des livres en vente sont achetés… par des femmes selon The Guardian.

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