Des éclats de lune à l’Institut français de Rabat

Jusqu’au 20 décembre, la lune prend ses quartiers à l’Institut français de Rabat à l’occasion de la célébration des 50 ans des premiers pas de l’homme sur la lune. Sur les murs, les photographies et les installations vidéos de Saâd A. Tazi regroupées sous le nom de « Moon Phases ».

Des images. Un hommage. L’exposition « Moon Phases » de Saâd A. Tazi est accrochée, jusqu’au 20 décembre, à l’Institut français de Rabat à l’occasion de la célébration des 50 ans du premier alunissage humain. Une exposition qui est « un hommage à la lune dans ses différentes phases, à la poésie de sa surface d’argent qui, à mesure qu’elle s’étend ou se rétracte au rythme du mois, fait gronder les océans et rêver les romantiques », comme le décrit si bien l’artiste qui se définit comme un photographe de la lenteur, du quotidien et pas du sensationnel. Reconnu pour ses photos de détails et sa recherche de la sérénité dans la géométrie et la poésie des chiffres, il s’intéresse aux procédés anciens et de tous les possibles qu’ils offrent au-delà de la photographie contempo- raine, qui est à l’histoire ce que la mode est à la consommation, comme le met en avant l’Institut français dans un communiqué, ajoutant que c’est « un photographe des années 50-60 du siècle dernier. Humaniste, qui cherche à mettre en avant la beauté du monde, dans sa simplicité et sa complexité à la fois. »

Dans les méandres de la vie conjugale au Maroc, le consentement sexuel entre époux reste un sujet brûlant et souvent
Alors qu’aux États-Unis et en Europe, le féminisme 4.0, également connu sous le nom de cyberféminisme ou féminisme du hashtag,
Soumaya Mounsif Hajji est traductrice assermentée. À la veille de la réforme de la Moudawana, cette virulente militante dresse un
L’état des lieux des droits des femmes au Maroc révèle toujours des écarts flagrants entre les décisions politiques de la
31AA4644-E4CE-417B-B52E-B3424D3D8DF4