Le groupe actif en Syrie, en Irak et en Libye, a menacé la Tunisie d'autres attaques, affirmant qu'il ne s'agissait que «du début».
L'attentat contre le musée a été qualifié d' «attaque bénie contre l'un des foyers des infidèles en Tunisie musulmane», par le communiqué audio.
Selon la même source, l'opération meurtrière avait été menée par «deux chevaliers du califat, Abou Zakaria al-Tounsi et Abou Anas al-Tounsi».
Ils étaient «munis d'armes automatiques et de bombes» et sont «parvenus à assiéger un groupe de ressortissants des pays croisés (…) semant la terreur dans le coeur des infidèles». «(…) Ce que vous avez vu, ce n'est que le début. Vous n'allez jouir ni de sécurité ni de paix», poursuit l'enregistrement.