Les grandes lignes de cette édition ont été présentées le 12 octobre lors d’une conférence de presse organisée à l’Institut Français de Casablanca en présence de Véronique Laheyne, Directrice de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse, de Motonobu Kasajima, Délégué général de la Délégation Générale Wallonie- Bruxelles au Maroc, de Gaetan Pellan, Directeur délégué de l’Institut français de Casablanca et avec la présence de Susanne BAaumgart Directrice de Goethe-Institut Marokko. Ensuite, l’assistance a pu suivre une performance inédite interprétée par Julien Carlier et Wajdi Gagui ; Le fruit d’une journée de rencontre qui lancera un projet de collaboration artistique entre les deux pays Maroc et Belgique.
Cette année encore, le festival promet une programmation riche et d’horizons variés. Ils seront une quinzaine de compagnies internationales et près de 80 danseurs et chorégraphes étrangers et marocains à se produire sur quatre lieux de référence notamment au Théâtre 121 de l’Institut français de Casablanca, à la Villa des Arts, à l’Institut Cervantes et au complexe Touria Sekkat.
“L’objectif des Rencontres Chorégraphiques de Casablanca est de favoriser l’échange culturel, la coopération internationale et les rencontres pluridisciplinaires. Cette année nous avons souhaité offrir au public de nouvelles références artistiques et un regard différent sur la danse contemporaine”, a rappelé Ahlam El Morsli, co-fondatrice du festival. Cet évènement est aussi l’occasion de partager sa vision, ses attentes et ambitions autour de la problématique de la danse contemporaine au Maroc. Une rencontre professionnelle réunissant artistes, les programmateurs, les agents culturels ainsi que les institutionnels.est ainsi programmée le vendredi 14 octobre à partir de 11h30 au jardin de l’Institut français de Casablanca.