« La petite Sirène » dans les salles nationales dès le mercredi 24 mai

Le dernier live-action des studios Disney, en salles nationales dès ce mercredi 24 mai.

Ariel, la benjamine des filles du roi Triton, est une jeune sirène belle et fougueuse dotée d’un tempérament d’aventurière. Rebelle dans l’âme, elle n’a de cesse d’être attirée par le monde qui existe par-delà les flots. Au détour de ses escapades à la surface, elle va tomber sous le charme du prince Eric. Alors qu’il est interdit aux sirènes d’interagir avec les humains, Ariel sent pourtant qu’elle doit suivre son cœur. Elle conclut alors un accord avec Ursula, la terrible sorcière des mers, qui lui octroie le pouvoir de vivre sur la terre ferme, mais sans se douter que ce pacte met sa vie – et la couronne de son père – en danger…

D’après le conte intemporel la petite sirène

LA PETITE SIRÈNE réinvente en prises de vue réelles le classique de l’animation Disney, récompensé par un Oscar. Inspiré du conte intemporel écrit par l’auteur danois Hans Christian Andersen en 1837, le récit est devenu au fil du temps la quintessence de l’histoire d’une outsider, dont l’impact a connu une portée universelle.

Entre les mains du cinéaste Rob Marshall, LA PETITE SIRÈNE déroule un récit intime sur toile de fond épique, mettant en scène un monde sous-marin photoréaliste d’une beauté stupéfiante. Ambitieux tout en restant ancré dans la réalité, le scénario de David Magee (L’ODYSSÉE DE PI) réinvente et développe l’histoire du conte original.

Une version live-action du classique Disney entre terre et mer

La version live-action du classique Disney est une adaptation moderne du dessin animé tout comme l’ont été les succès de Le Roi Lion, La Belle et la Bête ou Aladdin au box office mondial. Rob Marshall a considérablement développé l’univers d’Ariel et l’histoire que le public a découvert pour la première fois à l’écran en 1990.

Dès le premier jour, Rob Marshall a insisté sur l’importance de l’aspect réaliste de la terre et fantasmagorique de la mer. Il voulait s’assurer que tout ce qui se trouvait sur la terre ferme serait ancré dans une réalité profonde et aurait l’air aussi concret et authentique que possible, afin de montrer au mieux le contraste entre les deux mondes.

Le royaume sous-marin de Triton déploie une riche et profonde palette de couleurs qui évoque celles des joyaux et s’inspire de véritables coraux et anémones. John Myhre a conçu ce qui ressemble à une ville en pleine effervescence, en clin d’œil à la Skyline de Manhattan des années 30, avec de magnifiques piliers de corail surdimensionnés, des anémones, des récifs et d’autres formations coralliennes.

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