Dimanche dernier, Badr Hari faisait face à des accusations d’agression envers son ex-épouse, Daphne. Selon le quotidien néerlandais De Telegraaf, le juge d’instruction du tribunal d’Amsterdam a ordonné sa libération provisoire ce mercredi, sous certaines conditions. Parmi celles-ci, l’interdiction de se rendre dans la rue où réside son ex-femme et l’obligation de se présenter régulièrement aux autorités.
Les autorités ont révélé que l’arrestation de Badr Hari était liée à deux plaintes : l’une concernant un incident survenu en septembre dernier, et l’autre relative à l’événement du jour de son arrestation. Bien que la police n’ait pas divulgué les détails précis de ces incidents, elle a confirmé que le kickboxeur avait été détenu pendant la poursuite de l’enquête.
Dans des déclarations à la presse néerlandaise, Badr Hari a exprimé ses regrets concernant les accusations portées contre lui. Il a affirmé : “J’ai déçu des personnes que j’aime profondément. Ce qui m’est arrivé, je ne le souhaite à aucun père.”
Cette affaire continue de susciter l’attention, tant aux Pays-Bas qu’au Maroc, en raison de la notoriété de Badr Hari dans le monde du kickboxing.