Fatiha, étudiante.
â– Dans le domaine politique comme dans la vie en général, nous les femmes, nous résonnons plus avec les sentiments qu’avec notre cerveau, ce qui influe énormément sur les décisions qu’on peut prendre. Je trouve finalement que c’est normal que notre gouvernement ne compte pas beaucoup de femmes. Et puis il y en a une, ce qui est déjà pas mal. C’est suffisant en tout cas pour nous représenter.