Plan « Vigi-parents » !

Des jeunes de plus en plus en surpoids, accros à la télé ou aux réseaux sociaux... les symptômes de mal-être d'une société commencent au niveau des plus fragiles. Enlevez alors vos oeillères de parent gaga et reprenez le contrôle !

Jeunesse sédentaire…

Le corps affalé dans une position passive, le jeune d’aujourd’hui absorbe  autant de chimères que de chips croquées de manière distraite, et s’élargit de concert tout en élargissant sa vision du monde. Car le lien entre le temps passé devant un écran et la corpulence des bambins est maintenant  confirmé par des études très
sérieuses. La télévision et l’ordinateur ont ainsi remplacé  les parties de foot ou de cache-cache en plein air.
Pire : les messages publicitaires qui se glissent entre les  programmes ont également modifié les habitudes  alimentaires des plus jeunes. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’ils dédaignent le tagine aux petits légumes au profit  de burgers-frites ruisselant de mayonnaise ! Si le phénomène “petits  gros en culottes courtes”
n’est pas encore criant chez nous, on croise malgré tout de plus en plus d’enfants en surpoids, sans oser l’avouer à des parents qui n’y voient qu’une marque de bonne santé. Sauf que de cet embonpoint enfantin sans dépenses caloriques associées résultera un bon pourcentage d’adultes obèses exposés à des maladies  cardiovasculaires dans le futur.
Evidemment, les géniteurs les plus décomplexés vous rétorqueront qu’à  l’époque des nouvelles technologies et du numérique, il est difficile de nager à  contre-courant du moove ambiant. Mais devant cette donne, en  passe de devenir un problème de santé publique, on peut choisir de limiter les dégâts en se gardant de tout  sevrage brutal. Préconisations : primo, deux heures de télévision ou d’ordinateur par jour maximum, et il sera aussi de la responsabilité des adultes de faire preuve d’exemplarité ; deuxio,  s’il est inutile d’imposer la  ratique d’un sport à un enfant récalcitrant, on peut le convertir à nombre d’activités de la vie quotidienne : aller  à pied à l’école, jouer avec le chien dans le jardin, mettre la table et la débarrasser…

Pour la première fois dans l’histoire du Festival de Marrakech, l’Etoile d’or revient à un film marocain : « La
Sélectionnée dans le cadre du Panorama du cinéma marocain, la réalisatrice Leila Kilani présente "Indivision", un long-metrage qui évoque des
Mélita Toscan du Plantier, conseillère du Président de la Fondation du FIFM, est l'ambassadrice du FIFM qu'elle a vu naître.
Après « Au pays des merveilles », la productrice, réalisatrice et scénariste Jihane El Bahhar dévoile, en avant-première au Festival
31AA4644-E4CE-417B-B52E-B3424D3D8DF4