Meriam Benkirane s’inspire du cubisme et du modernisme, des courants artistiques qui influencent sa manière d’aborder formes et volumes. Elle puise également dans ses voyages à travers les grandes mégalopoles, ces cités tentaculaires où la démesure et la complexité nourrissent à la fois sa fascination et ses questionnements. De ces influences naît une abstraction géométrique où les formes et les lignes se font le miroir d’un questionnement profond sur la modernité urbaine. Ses créations, empreintes de références littéraires et cinématographiques, puisent dans les univers de la science-fiction et des dystopies, enrichissant ainsi son exploration des frontières et des possibles que lui offrent les espaces qu’elle façonne.
Interlude présente des œuvres qui, à travers des compositions dynamiques et des couleurs pop acidulées, abordent des thématiques urbaines, architecturales et mécaniques. L’exposition se distingue par une réflexion sur la vitesse et le mouvement, où chaque dessin intègre une dimension cinétique.
Cette exposition offre également une plongée dans le concept de « réalisme virtuel », où les œuvres de Meriam Benkirane réagencent les éléments d’un monde digital urbain, tout en utilisant des techniques classiques de la Renaissance telle que le sfumato pour créer des contours vaporeux et des jeux de contraste entre ombre et lumière. L’intégration d’une composition monumentale, “Le temps” apporte une maturité nouvelle, reflétant les enjeux d’un monde de plus en plus complexe.
Interlude présente des œuvres qui, à travers des compositions dynamiques et des couleurs pop acidulées, abordent des thématiques urbaines, architecturales et mécaniques. L’exposition se distingue par une réflexion sur la vitesse et le mouvement, où chaque dessin intègre une dimension cinétique.
Cette exposition offre également une plongée dans le concept de « réalisme virtuel », où les œuvres de Meriam Benkirane réagencent les éléments d’un monde digital urbain, tout en utilisant des techniques classiques de la Renaissance telle que le sfumato pour créer des contours vaporeux et des jeux de contraste entre ombre et lumière. L’intégration d’une composition monumentale, “Le temps” apporte une maturité nouvelle, reflétant les enjeux d’un monde de plus en plus complexe.