Une pratique qui aurait disparu, selon la chaîne Al Jazeera, depuis l’épidémie d’Ebola. Et pour cause. Depuis plusieurs mois, le gouvernement ne cesse de dire aux “soweis”, les exciseuses, que l’ablation à laquelle elles procèdent peut favoriser la propagation du virus.
Mais ce n’est là qu’une pause dans le cours de la pratique. Les associations en faveur de l’excision ont promis de ne plus mutiler les jeunes filles… tant que le Sierra Leone sera en proie à cette redoutable épidémie.