Selon le "Daily Mail", la scène se déroule près de Derna, dans l'est de la Libye, une ville devenue l'un des bastions de groupes ayant prêté allégeance à l'Etat islamique.
On apprend donc Via la "branche de communication" du groupe djihadiste, que ces instruments de musique ont été jugés "non-islamiques". Confisqués par la police religieuse, ils ont été livrés aux flammes "conformément à la loi islamique".
Une information qui prêterait à sourire si ce même groupe terroriste n'avait pas revendiqué l'exécution de 21 Egyptiens de confession copte en Libye, il y a quelques jours.