Lancement d’une plateforme pour empêcher le partage d’images intimes sur les réseaux sociaux

En tant que membre du Groupe consultatif mondial d'experts sur la sécurité des femmes de Facebook qui a contribué au développement de ce nouvel outil, l’association Mobilising for Rights Associates (MRA) présente la nouvelle plateforme StopNCII.org pour protéger les femmes contre le partage non consensuel d'images sexuelles sur Facebook et Instagram.

StopNCII.org, c’est le nom de la nouvelle plateforme lancée par la UK Revenge Porn Helpline et Meta à laquelle s’est associée l’association Mobilising for Rights Associates (MRA). L’objectif ? Soutenir et à habiliter les femmes victimes de partage d’images sexuelles non consensuelles sur Facebook et Instagram, en leur offrant un outil sécurisé pour identifier et supprimer de manière proactive ce contenu en ligne. La prolifération de ces images en ligne cause d’énormes préjudices, mais une diversité de différents facteurs décourage les victimes de le signaler, comme l’explique MRA.

Cette plate-forme est la première initiative mondiale de ce type conçue pour aider en toute sécurité les personnes concernées dont les images intimes (photos ou vidéos d’une personne présentant de la nudité ou de nature sexuelle) risquent d’être partagées sans leur consentement, afin de les détecter de manière proactive. La plateforme a été conçue avec la confidentialité et la sécurité à chaque étape grâce à de nombreuses contributions des victimes, des survivants, des experts, des défenseurs et d’autres partenaires technologiques, décrit l’association. 

Concrètement, lorsqu’une personne craint que ses images intimes aient été publiées ou pourraient être publiées sur des plateformes en ligne comme Facebook ou Instagram, elle peut créer un dossier via StopNCII.org. Lorsqu’elles sélectionnent leur image, l’outil utilise une technologie de génération de hachage pour attribuer une valeur de hachage unique (un code numérique) à l’image, créant ainsi une empreinte numérique sécurisée. L’image originale ne quitte jamais l’appareil de la personne. Seuls les hachages, et non les images elles-mêmes, sont partagés avec StopNCII.org. Les entreprises technologiques participant à StopNCII.org reçoivent le hachage et peuvent utiliser ce hachage pour détecter si quelqu’un a partagé les images ou essaie de partager ces images sur leurs plateformes. La création d’un dossier via StopNCII.org peut activement supprimer et arrêter la prolifération de l’image.

https://stopncii.org/ 

Pour ce numéro d’avril, ce sont 5 grands chefs qui se mettent aux fourneaux. À travers leur recette fétiche, ils
Certains termes, autrefois réservés aux troubles mentaux, sont désormais utilisés à tort et à travers dans le langage courant, au
À l’ère du numérique, où les réseaux sociaux sont rois, une tendance émerge avec force : le bien-être. En particulier
Dépression, angoisse, vide existentiel, addictions… Les petits bleus et grands maux de l’âme exigent un accompagnement adéquat. Mais dans ce
31AA4644-E4CE-417B-B52E-B3424D3D8DF4