La dernière campagne de Calvin Klein sous le feu des critiques

#mycalvins, la dernière campagne de Calvin Klein pour des sous-vêtements a choqué de nombreuses associations et internautes.

Marketing pour pervers, sexualisation des petites filles, « glamourisation » du harcèlement sexuel, les critiques à l’encontre de la dernière campagne de Clavin Klein se multiplient depuis le 9 mai, date de lacement. Dans cette série de photos, intitulée #mycalvins, la marque a vraisemblablement cherché à rendre le mannequin Klara Kristin, 23 ans, plus jeune qu’elle ne l’est. La jeune femme à l’allure de pré-adolescente « s’exhibe » (« I flash in #mycalvins », c’est l’intitulé d’une des photos) en culotte et socquettes blanches. C’est sans doute la photo qui montre la culotte de la mannequin vue de sous sa robe qui a mis le feu aux poudres. La marque est ainsi accusée de mêler sexe et enfance. « Calvin Klein fait du marketing pour les pervers », a écrit le tabloïd New York Post sur son site. Sur le compte Twitter du mouvement The Representation Project, engagé contre les stéréotypes, on peut lire ce post : « Ta publicité donne un caractère sexuel aux petites filles. Nous n’achèterons pas ». Certains sont même allés plus loin, comme le National Center on Sexual Exploitation (NCOSE) qui a même lancé une pétition. Rappelons que la marque s’est toujours distinguée par son image très sexualisée.

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