ça donne ça : un énorme financement destiné à la cryoconservation des ovocytes pour les super cadres féminins travaillant à Google et Facebook.
L’objectif n’est évidemment pas de combler les présumés instincts de maternité des employées, mais de calmer leurs angoisses susceptibles de les dissuader de se consacrer à une carrière au sein des géants de la technologie numérique.
Ce qui semble motivé par un besoin d’installer la parité au sein des entreprises passe pour “une OPA sur la vie privée des femmes”, selon le professeur René Frydman, père scientifique des premiers bébés nés à partir d’ovocytes congelés, rapporte France24.