nous. 42 chroniques pleines d’humour, de malice. L’auteur semble jouer avec les mots mais ce faisant, il
déterre les feintes, les pirouettes, les non-dits, la douleur cachée sous la pudeur, comme dans “C’est peut-être mieux comme ça”. L’auteur remet sur le grill l’art délicat de la communication au second degré. “Et puis je vais vous faire une confidence” – également au palmarès de l’opus en question – Delerm n’est point un vieux con, et on déguste son dernier-né avec délectation.