Que vous le vouliez ou non, vous ne pourrez pas passer à côté de la déferlante “Fifty Shades”. La très attendue bande-annonce donne déjà l’eau à la bouche… même si les réactions ont été plutôt vives à l’annonce des noms des deux comédiens principaux. Si les mauvaises langues que nous sommes s’accordent à dire que Dakota Johnson est somme toute plutôt banale (Quoi?! Non, c’est pas de la jalousie !), nous avons littéralement fondu à la vue de Jamie Dornan. So… hot ! Le trailer, dès sa sortie, a rencontré un succès sans limites. Du jamais vu ! Enfin si, et plus de 100 millions de fois sur le Net d’ailleurs… Mais les puristes que nous sommes avons du mal à nous résoudre à l’idée de brider notre fertile imaginaire en nous imposant, en lieu et place, un décor et des comédiens hollywoodiens. Malgré la vive curiosité éprouvée à l’annonce de la sortie du film, voici le top 3 des bonnes raisons de lui préférer le roman.
1. Le souci du détail
Si vous ne l’avez pas encore fait, il vous reste tout de même cinq mois pour lire un, deux, ou même les trois tomes de “Fifty Shades”. Car résumer près de 600 pages en 1h30 environ, c’est forcément passer à côté des détails qui ont fait de ce roman un best-seller à l’échelle internationale. Près de 100 millions d’exemplaires vendus, tout de même ! Et quand on aime Christian Grey, c’est un sacrilège d’accepter d’en perdre une miette !
2. Tous publics ?
La bande-annonce, plutôt soft avouons-le, laisse tout de même présager de belles scènes érotiques. Dakota Johnson avoue carrément être mal à l’aise avec le fait que ses parents puissent voir le film ! Alors, si vous projetez d’acheter le DVD à Derb Ghellaf avec l’idée folle de le regarder en famille, attendez-vous à beaucoup… zapper ! En revanche, dévorer quelques pages du roman, en solo, vous offre une parenthèse intime, une bulle dans laquelle vous pourrez laisser libre cours à votre imaginaire et pourquoi pas, à vos fantasmes…
3. Retour à la réalité… brutal !
Ah ! Christian Grey, le milliardaire torturé et diaboliquement sexy… Lorsqu’on se plonge dans un bon livre, on est totalement libre d’imaginer le héros tel qu’on le rêve, plus ou moins éloigné de la réalité, de “sa” réalité ; autrement dit de son conjoint… Mais lorsqu’on lève les yeux du bouquin et que l’on se met à comparer sa douce moitié, avachie sur le canapé, la bedaine naissante ou clairement installée, à Jamie Dornan, on tue forcément le peu de libido qu’il nous reste après toutes ces années de mariage ! Frustrant… déprimant même !