Il avait ensuite diffusé sur Internet des photos d’elles dans des positions dégradantes. Le scandale éclate alors. Parmi les 80 femmes concernées, 13 ont porté plainte. Mais elles sont jetées en prison, tandis que Servaty est autorisé à rentrer en Belgique, où il est finalement poursuivi pour débauche et viol de mineurs. Mais à l’ouverture du procès en janvier dernier, l’accusation de viol est écartée et les juges ne requièrent qu’une peine de deux ans de prison avec sursis. Le verdict, déjà très controversé, sera rendu le 19 février.