Yves Saint Laurent Beauté (YSL Beauté) privilégie la beauté de demain pour une meilleure empreinte sociale et environnementale à travers les Jardins collectifs de l’Ourika. Imprégnée par de cet engagement, la marque poursuit le développement de cette magnifique collection botanique située aux pieds de l’Atlas. Un espace mis en valeur et protégé par YSL Beauté réunissant plus de 200 espèces.
Ce jardin se devise en trois espaces distincts. Le premier, composé de soixante-quatre carrés de culture, est destiné à la production et à la récolte de plantes intégrées dans les produits YSL Beauté. Le deuxième fait office de zone test où sont expérimentés de nouveaux ingrédients. Et le troisième rend hommage au célèbre créateur Yves Saint Laurent et à sa passion des fleurs via la culture d’une douzaine de plantes et fleurs de référence. En d’autres termes, un jardin merveilleux où se trouve un laboratoire d’expérimentation et d’observation, permettant à la marque de poursuivre les travaux de recherche et d’innovation qui viendront enrichir les produits YSL Beauté de demain.
Depuis le lancement du projet en 2013, cet espace unique est prodigue de trésors botaniques à l’image du pistil de safran récolté tout au long de l’année et utilisé dans la gamme Or Rouge que la marque a lancée en 2013, de la fleur de calendula de la formule de Touche Éclat, de la feuille de noyer de la ligne Top Secrets, de la grenade de la gamme Rouge Volupté Shine et, depuis 2018, des ingrédients de la gamme Pure Shots comme l’iris, la mauve, la figue de Barbarie et la fleur de cactus.
Des créations sous le sceau de la durabilité
« La mission des Jardins collectifs de l’Ourika est d’observer, de cultiver et de protéger la nature de sorte à tirer le meilleur parti de tout ce qu’elle a à offrir, explique Stephan Bezy, directeur général international d’Yves Saint Laurent Beauté. Bâti sur l’héritage d’Yves Saint Laurent, ce projet renouvelle la promesse d’enchantement de la marque en développant un programme innovant et responsable qui met la terre à l’honneur. »
En créant son premier jardin dédié à la culture d’ingrédients cosmétiques, la Maison a adopté une approche novatrice de la recherche, axée autour d’un espace entièrement consacré à la botanique. « Dans les Jardins collectifs de l’Ourika, chacun des ingrédients est sélectionné, cultivé et récolté de façon durable, et extrait avec soin, dans le respect des normes les plus strictes », appuie, de son côté, Caroline Nègre, directrice scientifique internationale d’Yves Saint Laurent Beauté.
Cet engagement de long terme a déjà produit des résultats probants pour la marque. En effet, en 2020, plus de 12 millions de produits de la gamme YSL Beauté contenaient au moins un ingrédient issu des Jardins collectifs de l’Ourika. En 2021, 15 ingrédients exclusifs sont sourcés durablement dans les jardins. Et d’ici 2025, 100 % des nouveaux produits lancés par la marque intègreront au moins un ingrédient issu des Jardins.
Une oasis de beauté durable cultivée par des femmes
Par-delà leur dimension écologique, les Jardins collectifs de l’Ourika sont aussi une aventure humaine qui vise à favoriser l’entrepreneuriat des femmes et leur indépendance financière. Ce programme social s’efforce en effet de promouvoir le savoir-faire et l’artisanat ancestral des communautés locales, tout en créant des emplois pour une coopérative de 32 femmes. Au cours des cinq dernières années notamment, le travail de ces femmes a évolué et s’est diversifié, poussant ces dernières à étoffer leur savoir-faire au-delà des tâches relevant de l’entretien du jardin pour apprendre la gestion des pépinières, le commerce des graines, des thés et des biscuits, et même l’animation de cours de cuisine destinés aux touristes. Désireuse de saluer ce travail, la YSL Beauté veille à la juste rémunération de ces femmes en garantissant un prix minimal indexé sur le prix de revient des produits, auquel s’ajoute une prime de développement.
L’objectif, dans un futur proche est de développer plus encore le cycle vertueux auquel obéit cet espace expérimental et emblématique, en continuant d’encourager et de stimuler celles qui cultivent la terre afin qu’elles puissent récolter ce qu’elles ont semé, au propre comme au figuré. La force de ces jardins tient à leur capacité à transformer, à aiguillonner et à nourrir le changement.