New York Fashion Week Printemps-Été 2026 : ce qu’il faut retenir

La Fashion Week de New York n’a pas seulement dessiné les contours de ce que nous porterons au printemps prochain. Elle nous a offert une vision : celle d’une femme libre, consciente, ancrée. Zoom avant sur ce qu'il faut retenir de ce début de Fashion Week.

Cette saison, la Fashion Week de New York a pris des allures de manifeste. Une chose est sûre, cette  édition est marquée par une quête d’authenticité, un retour au corps, à la matière et à l’émotion. Zoom sur les temps forts.

Manifeste à la femme libre

La tendance de fond est claire : la terre est notre muse. Les teintes organiques, argile, ocre, rose poudre ou vert thym ont dominé les silhouettes. On sent une envie de réconfort, de douceur, presque de silence. Les matières sont vivantes : lin froissé, coton brut, soie fluide et tissages artisanaux. Des vêtements qui ne s’imposent pas, mais qui racontent. L’écoresponsabilité n’est plus un concept à la marge. Elle s’ancre dans les coupes, les finitions, et surtout, dans l’intention. On ne consomme plus la mode, on la choisit. Avec conscience. Avec cœur. Sur les podiums, la femme est plurielle, assumée, souveraine. Les corps sont libres, mouvants, parfois flous, mais jamais dissimulés. Michael Kors, fidèle à sa vision de la beauté urbaine, a proposé une version estivale du glamour new-yorkais : robes longues aux découpes subtiles, blouses aériennes, pantalons amples, et une élégance qui s’impose sans un mot. Et comment ne pas évoquer la poésie visuelle de Willy Chavarria, où chaque look devient un cri d’amour à la culture latino, à la foi, à l’identité ? Des vêtements comme des prières tissées. Puissants. Vibrants. Inoubliables.

 Style de rue inspirant

Le street style, véritable baromètre des tendances, a célébré une féminité sans fard : cheveux lâchés ou plaqués, boucles naturelles sublimées par des pinces rétro, lèvres framboise, blush appliqué au doigt. Une beauté du moment, sans filtre ni contrainte. Dans la rue comme sur les podiums, l’élégance ne se crie pas, elle se ressent. Un blazer oversize sur une robe en soie, des sandales plates bijoutées, un foulard noué à la ceinture. Les femmes racontent leur histoire à travers chaque pièce. Et c’est cette authenticité qui touche. Les jeunes créateurs ont brillé par leur audace et leur sincérité. Parmi eux, Diotima, Zankov ou encore Lii, offrent des collections hybrides, entre tradition et avant-garde. Leur point commun ? Un ancrage dans leur héritage culturel, et une volonté de s’adresser au monde avec franchise. Certaines maisons historiques, comme Proenza Schouler, amorcent une nouvelle ère. Sous la houlette de Rachel Scott, la marque réinvente ses codes avec justesse. Moins de frime, plus de sens.

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