Le minimalisme de l’été : et si on vivait avec moins, pour profiter plus ?

Une valise à moitié vide, une trousse beauté réduite à l’essentiel, des journées sans planning ni pression… L’été, sans même y penser, on allège tout. Et si c’était le moment idéal pour ralentir, désencombrer, et repenser nos habitudes avec un peu plus de légèreté ?

En été, on s’habille avec moins… mais souvent mieux. Trois robes, deux shorts, une chemise oversize et quelques bijoux, et le tour est joué. Cette simplicité, imposée par la chaleur ou la valise cabine, révèle un truc essentiel : on n’a pas besoin de grand-chose pour se sentir bien.

Et si on s’en inspirait au retour ? En triant nos placards, en misant sur les vêtements qui nous vont vraiment (et qu’on aime porter), on s’allège l’esprit autant que la penderie.

Moins de produits, plus de peau

L’été, le maquillage fond, la crème reste au fond du pot, et notre peau respire enfin. Une routine minimaliste (nettoyant doux, sérum léger, SPF) suffit souvent à retrouver un teint frais sans artifice.

C’est aussi l’occasion de questionner nos gestes beauté automatiques : ai-je vraiment besoin de 4 masques différents, de 3 fonds de teint et de ce sérum à 1000 promesses ? Spoiler : non.

Alléger aussi ses journées

Ce qu’on aime en vacances, ce n’est pas tant le lieu que la liberté : pas de réunions, pas d’horaires, pas de sur-sollicitations. Pourquoi ne pas garder ce réflexe en rentrant ? Dire non plus souvent. Supprimer les tâches inutiles. Créer de vraies pauses. L’été nous rappelle que la vie peut être simple, si on l’autorise à l’être.

L’art de se contenter (et de savourer)

Boire un café dans le calme. Lire un livre sans scruter l’heure. Faire une sieste sans culpabiliser. Ces micro-joies qu’on vit sans surconsommer sont souvent celles dont on se souvient. Le minimalisme de l’été, ce n’est pas se priver, c’est redécouvrir le goût des choses simples. Celles qui nourrissent, apaisent, font du bien.

Cet été, on laisse du vide. Et c’est ça, le luxe.

Le luxe de ne rien faire. De ne pas s’encombrer. De ne pas répondre à toutes les sollicitations. De ne pas chercher à tout remplir. Car parfois, c’est dans le vide que se glisse le vrai plaisir. Et si on apprenait à en faire moins pour vivre mieux ?

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