En vacances, on débranche le mode “urgent”. On flâne, on prend son café sans l’engloutir, on regarde le ciel. Ce n’est pas de la paresse, c’est de la respiration mentale. Et si, au lieu de courir tout le temps, on s’autorisait deux vraies pauses par jour, sans écran, sans bruit, sans but ?
Marcher, sans objectif
En bord de mer, à la montagne ou même en ville, on marche. Pas pour brûler des calories ou atteindre un quota, mais juste pour être dehors. Ce petit geste anodin libère les tensions, régule le stress, et ré-ancre le corps dans l’instant. Garder l’habitude de marcher un peu chaque jour (même 20 minutes) peut vraiment changer l’ambiance d’une semaine.
Se déconnecter (au moins un peu)
En vacances, on oublie parfois de scroller. Ou alors on scrolle moins, sans culpabilité, sans dépendance. On regarde les gens, pas l’écran. Et si on gardait ça ? Une soirée par semaine sans téléphone, un dimanche sans réseaux, un dîner sans scroll. Rien de radical. Juste un peu d’air.
Faire les choses pour soi (et pas pour “faire”)
Lire un roman pour le plaisir. Se mettre du vernis juste parce qu’on a envie. Prendre un bain à 16h. L’été, on fait plus de choses gratuites, sans attente de résultat. On arrête de cocher des cases et on réapprend à s’écouter. Et si on gardait, dans l’année, une dose de “non productivité heureuse” ?
L’été passe. Et si on gardait l’essentiel ?
Le sable finit toujours par s’effacer, mais pas ce qu’il nous apprend : que notre rythme peut changer, que nos journées peuvent être plus douces, que nos vies peuvent être un peu moins chargées. Ce n’est pas un rêve. C’est une habitude. À nous de choisir de la garder.