Paris Fashion Week Printemps-Été 2026 : La mode en pleine (r)évolution

la Fashion Week de Paris Printemps-Été 2026 a livré un souffle nouveau sur les podiums. Entre changements de direction artistique, matières responsables et silhouettes empreintes de douceur, la mode se recentre sur l’émotion et l’essentiel. Voici ce qu'il faut retenir de la Fashion Week de Paris printemps-été 2026.

Pendant une semaine, les podiums parisiens ont été le théâtre d’un renouveau stylistique, d’engagements affirmés et d’une poésie textile plus vivante que jamais. De la grâce éthique de Stella McCartney au souffle romantique de Cecilie Bahnsen, voici ce qu’il faut retenir de la Fashion Week Printemps-Été 2026.

 Nouveaux visages, nouvelles promesses

Cette saison a marqué un tournant symbolique : plusieurs maisons emblématiques ont changé de cap, accueillant de nouveaux directeurs artistiques à la tête de leurs ateliers. Et les résultats sont palpables. Chez Balenciaga, le départ de Demna a laissé place à une approche plus subtile signée Pierpaolo Piccioli. Moins de provocation, plus d’émotion. Les lignes sont sobres, presque méditatives, et cela résonne fort dans cette époque saturée d’images. Chanel a surpris avec l’arrivée de Matthieu Blazy. Une collection fluide, pensée pour une femme moderne, active, mais jamais pressée. Les codes de la maison sont là , camélias, tweed, perles , mais réinterprétés avec finesse. Maison Margiela, sous la houlette de Glenn Martens, continue de déstructurer pour mieux reconstruire. Une mode qui questionne, perturbe, puis séduit.

 Une mode plus responsable, mais toujours désirable

Ce qui frappe, au-delà des coupes et des couleurs, c’est l’engagement croissant des créateurs pour une mode plus éthique. Stella McCartney, pionnière de la cause durable, a ouvert son défilé avec un message fort : “Come Together”, lu par Helen Mirren. Sur le podium, pas de cuir, pas de fourrure, mais une nouvelle matière révolutionnaire : le Fevvers, substitut végétal aux plumes. Résultat ? Une collection légère, lumineuse, presque céleste. Même engagement chez Gabriela Hearst, qui puise dans l’imaginaire du tarot pour dessiner des silhouettes protectrices, empreintes de spiritualité. Tissus recyclés, teinture végétale, finitions artisanales , un luxe lent, en harmonie avec la nature.

Les tendances fortes qui nous inspirent

Voici ce que les podiums de Paris nous soufflent pour le printemps-été prochain des tendances que l’on imagine déjà twistées  : Volants, broderies, transparence… mais associés à des matières techniques ou recyclées. Cecilie Bahnsen l’incarne à merveille avec ses robes-cocons et ses cœurs lumineux intégrés aux vêtements. Une douceur assumée, jamais mièvre. Chez Louis Vuitton, Nicolas Ghesquière imagine une femme qui rêve depuis son balcon, dans des tons pastels, des formes souples, presque méditatives. On pense à nos longues fins d’après-midi d’été, baignées de soleil et de silence. Manches ballon, jupes exagérées, superpositions maîtrisées… Zomer et Dries Van Noten misent sur l’expressivité du vêtement, sans jamais tomber dans l’excès. Un jeu de silhouettes qui pourrait inspirer nos caftans revisités. Une chose est sur ce printemps-été 2026 marque un retour à l’essentiel, sans renoncer au rêve. Une mode sensible, sincère, qui parle autant au cœur qu’au regard.

 

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