Le programme a consisté en la présentation et la projection de «Morjana» du réalisateur et producteur Jamal Souissi, et «les petits bonheurs» du réalisateur Mohamed Chrif Tribak.
En collaboration avec le ministère de la Culture du Panama, la représentation diplomatique du Royaume a organisé un colloque dans le but de favoriser l’échange entre les deux cinéastes et les professionnels du ciné panaméen.
Selon un communiqué de l’ambassade, ces échanges ont pour ambition de permettre la conclusion d’un éventuel accord entre institutions cinématographiques des deux pays.
Dans le cadre desdites journées, le public a pu survire le documentaire de la réalisatrice Khadija Hal intitulé «Sahara, cuentos de agua y esperanza» qui retrace les efforts déployés par le Maroc dans la gestion de l’eau dans les provinces du sud du Royaume.
Selon la même source, les activités au programme de cette semaine artistique ont vu la présence également du vice-ministre de la Culture, Gabriel Gonzalez, et de plusieurs autres personnalités du monde de la politique, de la diplomatie et de la culture et des arts.
A cette occasion, l’ambassadeur du Maroc au Panama, Bouchra Boudchiche, a mis en avant l’évolution du 7ème art dans le Royaume, ainsi que les grandes productions cinématographiques tournées dans le pays.
La diplomate a souligné que conformément aux Hautes orientations royales, le Maroc a érigé la production audiovisuelle en un vecteur social et culturel, notamment le secteur cinématographique.
Par ailleurs, lors de la présentation du documentaire sur la gestion de l’eau au Sahara marocain, Mme Boudchiche a fait référence à l’intérêt et à la sollicitude qu’accorde Sa Majesté le Roi Mohammed VI à la question stratégique de l’eau, ainsi qu’à l’impératif de la rigueur et la vigilance dans la gestion de cette ressource vitale, qui peut également être un outil de coopération au sein de la communauté internationale.
Ces premières journées cinématographiques au Panama ont été organisées en collaboration avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, du Centre cinématographique marocain, ainsi que du ministère de la Culture du Panama et de l’Association du Cinéma du pays caribéen.