L’affaire des amants de l’aube pris en flagrant délit d’ébats sexuels dans une voiture sur la plage entre Mohammedia et Bouznika aurait pu faire l’objet, dans ce même édito, d’une attaque virulente de notre part contre l’article 490 et la violation de la vie privée des individus dans notre pays. Il n’en sera rien tellement la sainteté autoproclamée des acteurs de cet Arlequin de mauvais goût, avec une mention particulière à l’héroïne Fatima, nous révolte.