“Vivre à ta lumière” d’Abdellah Taïa et “La poule et son cumin” de Zineb Mekouar parmi les 1“coups de cœur” de l’Académie Goncourt

L'académie Goncourt vient de publier la liste des ouvrages qu'elle recommande de lire cet été. Parmi leurs « coups de cœur », « Vivre à ta lumière » d’Abdellah Taïa et « La poule et son cumin » de Zineb Mekouar.

Pour cet été, les Académiciens de chez Drouant vous conseille 10 ouvrages. Parmi eux, « Vivre à ta lumière » d’Abdellah Taïa paru chez Seuil. Dans ce livre, l’auteur marocain raconte, en toute intimité, l’histoire de Malika, une femme marocaine de la campagne, durant la période s’étendant de la colonisation française à la mort du roi Hassan II. Trois événements marqueront notamment sa vie. Un roman qui rend, en fait, hommage à la mère de l’écrivain, M’Barka Allali Taïa. « C’est Malika qui parle ici. Tout le temps. Elle raconte avec rage ses stratégies pour échapper aux injustices de l’Histoire. Survivre. Avoir une petite place », peut-on lire sur la quatrième de couverture.

Sur la liste Goncourt également, « La poule et son cumin » de Zineb Mekouar (JC Lattès). Ce livre est le premier roman de l’autrice marocaine. Véritable fresque sur les contrastes de la société marocaine, « La poule et son cumin » relate le destin de deux jeunes marocaines radicalement opposées : Kenza et Fatiha. La première issue d’une riche famille poursuivant ses études à Sciences Po-Paris. La seconde, la fille de la nourrice.

Les autres lectures recommandées ?

-Jacques Drillon, Coda (Gallimard)
-Giuliano da Empoli, Le mage du Kremlin (gallimard)
-Mahir Guven, Les Innocents (Grasset)
-Judith Housez, Chateaubriand à Saint-Tropez (Les Equateurs)
-Alexandre Labruffe, Wonder Landes (Verticales)
-Denis Lachaud, Le silence d’Ingrid Bergman (Actes Sud)
-Nina Leger, Antipolis (Gallimard)
-Yann Moix, Verdun (Grasset)

Le tirage au sort de la Coupe du monde 2026, organisé vendredi soir à Washington, a dévoilé la composition des
Dans cette conversation en marge du Festival International du film de Marrakech, l’actrice Marie Batoul Prenant revient sur une année
Les violences psychologiques restent la forme de maltraitance la plus répandue à l’égard des femmes au Maroc, selon le rapport
Le photographe italien Nicola Fioravanti expose ses clichés à la Galerie Bab Rouah de Rabat, du 1er au 18 décembre.
31AA4644-E4CE-417B-B52E-B3424D3D8DF4