Cette œuvre est devenue virale. 134.000 personnes l’ont en effte retweetée après que Emma Krenzer, l’artiste qui l’a créée, l’a partagé sur Twitter. A travers ce projet pour une classe d’art à l’université Wesleyan au Nebraska, la jeune étudiante a choisi de mettre en scène son agression sexuelle afin d’exprimer les conséquences que cela peut avoir sur les victimes. « J’ai fait ce projet surtout pour moi, afin de visualiser l’impact durable qu’un attouchement peut avoir sur un individu», explique-t-elle à un célèbre magazine.
Pour réaliser cette œuvre, la jeune femme a peint des mains et des traces de doigt de différentes couleurs à différents endroits d’un corps de femme pris en photo. Chaque couleur correspond à différents proches de l’étudiante : mère, père, frères et sœurs, amis, amours et enfin en rouge, «quelqu’un à qui j’ai dit “non”». Un projet qui au message poignant qui fait réfléchir : « Je pense que l’ouverture et la vulnérabilité de mon projet permet à d’autres personnes de s’ouvrir. »
The prompt for this project was to create some sort of map. I created a map of human touch on another humans body and it's lasting impact pic.twitter.com/3110jwIMPt
— 🪱〽️〽️🅰️ (@cheezitfan1) January 23, 2017