Selon le rapport d’une étude du département des sciences sociales et comportementales d’Harvard, les femmes optimistes ont moins de chance de développer un cancer mortel, une maladie cardiaque, des problèmes pulmonaires ou même des accidents vasculaires cérébraux à l’âge de la retraite. Des chercheurs ont ainsi évalué le degré d’optimisme de 70 000 femmes âgées et les ont suivies pendant huit ans. Résultat ? Plus les femmes voient la vie en rose, plus le risque de mortalité est faible, indépendamment du statut marital, du milieu socio-économique ou bien même de la présence d’antécédents médicaux comme le diabète, l’hypertension ou le cholestérol. L’optimisme a donc un double effet sur le corps : psychologique et biologique. Alors, P-O- S-I- T-I- V-E- Z !