Les dispositions contenues dans le Code pénal (chapitre VIII, section I, de l’article 449 à l’article 458) sont la seule référence concernant la question de l’avortement, a ainsi fait savoir le secrétariat général du Conseil supérieur des Oulémas dans un communiqué parvenu à la MAP. Ainsi, ces dispositions ne connaîtront aucune modification « sauf ce qu’exige l’intérêt et permet l’Ijtihad », comme il l’a souligné dans ce document, précisant que chaque partie autorisée pourra réviser son avis, dans le cadre permis par la loi. Autre information ? « Excepter ce cas, aucune personne n’est habilitée de surpasser une partie compétente d’une manière à impliquer le Conseil Supérieur des Oulémas dans un débat clos, donnant l’impression que ledit Conseil était absent et n’assume pas ses responsabilités, et exploitant cette implication dans une polémique à caractère politique ».
(Avec MAP)