Baptisé plan “Ikram”, celuici fâche sur la forme, d’abord, puisqu’il renverrait à un concept de bienveillance. Pour ce qui est du fond, les ambitions du plan sont jugées bien modestes en matière d’accès équitable aux postes de prise de décision. Sans parler de l’absence de mesures audacieuses, notamment pour la question de l’avortement, déjà abordée par le gouvernement précédent, mais qui ne figure pas du tout dans le nouveau projet.