Les faits se sont produits hier dans la soirée à quelques minutes de la clôture de l’évènement. Alors que deux imams étaient en train de débattre sur la « nécessité ou non de battre son épouse », deux militantes ont pris la scène d’assaut avant de retirer les djellabas dont elles s’étaient vêtues. Sur leurs seins et leurs dos ont pouvait lire l’inscription « personne ne me soumet, personne ne me possède, je suis mon propre prophète ».
Les femmes d’origine algérienne et tunisienne ont aussitôt été maitrisées par une quinzaine d’individus sous les injures et menaces du public. Les organisateurs de ce salon qui comptait parmi ses intervenants des fondamentalistes controversés, ont déclaré qu’ils porteraient plainte contre la formation féministe. Une troisième édition bien mouvementée…