Les "accès de faiblesse" et la "tentation" seraient donc une habitude chez la journaliste; En effet, selon le chroniqueur d'itele, Catherine Graciet aurait un précédent en Tunisie. Selon cette information confirmée par les sites lapressenews, et issue de sources proches du dossier, la journaliste aurait empoché une grosse somme d'argent, émanant d'un citoyen tunisien résidant dans un pays du Golfe, pour écrire un livre sur Leila Trabelsi.
Co écrit cette fois ci avec Nicolas Beau, "La régente de Carthage: main basse sur la Tunisie" sortira finalement en 2009, aux éditions La Découverte malgré ‘‘Ben Ali (qui) avait lui-même dit que Catherine Graciet avait essayé de le faire chanter’’, révèle Ravanello, spécialiste des questions internationales pour la chaine d’info en continu du groupe Canal+. Interrogé sur la possibilité d’«imaginer une affaire dans l’affaire», Olivier Ravanello déclare ainsi que « si l’on s’intéresse un peu au profil de Catherine Graciet, on s’apercevra quand même qu’il y a des cibles régulières ». Et d'ajouter « à l’époque où le livre était sorti sur la famille Ben Ali (la Régente de Carthage, coécrit avec Nicolas Beau), l’entourage de Ben Ali et Ben Ali lui –même disait qu’on avait essayé de le faire chanter, que Catherine Graciet déjà avait essayé de le faire chanter pour ne pas publier le livre, il ne lui avait pas répondu en disant qu’il n’avait rien à cacher et qu’il était plus fort que tout cela. Comme ça venait de Ben Ali, ça n’a pas été pris pour argent comptant, mais c’est un élément peut-être à garder en tête ».